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Pour en savoir plus

La couverture 5G de Free est déjà excellente,
comme ils le montrent sur leur site.

Il y a déjà 10 ANTENNES dans un tout petit périmètre (cercle de 300m autour du métro) 5G: SFR - 7 rue G. Paradin (Université) 5G: SFR - 85 rue Laënnec (HLM) 5G: SFR - 50 rue Seignemartin (co-propriété) 5G: Orange - 135 rue Laënnec (HLM GLyon Habitat) 5G: Bouygues - 75 rue Laënnec (HLM) 5G: Free - 76/78 rue Laënnec (co-propriété) 4G: Orange/Bouygues/SFR/Free - Métro D (Sytral) 4G: Orange - 11 rue G. Paradin (Université)

Que sait-on des effets de la 5G sur la santé?

Rien de solide. Aucune étude n’a pour le moment montré l’innocuité ou la nocivité de la 5G. 

 

Fin janvier 2019 dans un rapport préliminaire, l’ANSES concluait à l’impossibilité d’évaluer les risques en raison du manque de données scientifiques sur les effets biologiques et sanitaires liées aux fréquences. Mais les effets potentiels à long terme sont une source d’inquiétude. 

 

Face à toutes ces inconnues, la convention citoyenne sur le climat a exigé un moratoire en attendant les résultats des évaluations. Mais elle n’a pas été entendue. Un véritable camouflet pour ce groupe de citoyens qui a pourtant été formé sur ces questions.

Emission de France Inter "La Terre au carré", 28/09/20

Podcast France Inter "La 5G c'est demain"

La 5G va-t-elle réduire ou augmenter la consommation d’énergie ?

Le secrétaire d’Etat au numérique a insisté à plusieurs reprises sur le gain énergétique que représenterait la 5G. Une affirmation exagérée.

Article paru dans Le Monde, le 23/09/20
 

En valeur absolue, les antennes 5G consomment environ trois fois plus que les antennes 4G, selon l’opérateur Orange, mais aussi selon l’équipementier Huawei et un opérateur chinois dont Libération a obtenu les données de consommation. Un ordre d’idée confirmé par les projections du centre de réflexion Shift Project, qui milite pour une sortie des énergies fossiles : « Consommant deux à trois fois plus que les équipements 4G, tout cela se fera avec au moins un doublement de la consommation électrique des réseaux mobiles. »
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Lorsqu’il affirme que la 5G « pour la même utilisation consomme dix à vingt fois moins que la 4G », le secrétaire d’Etat au numérique pourrait avoir raison, si les performances techniques sont au rendez-vous. Mais il occulte le fait que cette technologie nouvelle va pousser les utilisateurs à développer leurs usages encore davantage : en cinq ans, le volume de données mobiles consommées par les Français a été multiplié par dix, porté par le streaming vidéo, selon l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep).

« La 5G est un projet de société auquel les citoyens n’ont jamais été associés »

article du 29 septembre 2020, paru sur le site La Relève et la Peste.
par Augustin Langlade et Maud Barret Bertelloni

" L’urgence, c’est le capitalisme mondialisé qui la crée. Dirigeants et industriels font passer la compétitivité avant la démocratie.

 

L’évaluation scientifique des risques biologiques et sanitaires est encore en cours, la convention citoyenne sur le climat a expressément demandé un moratoire dans l’attente d’une étude d’impact environnemental, une action en justice citoyenne est en cours contre les opérateurs téléphoniques français, néanmoins le gouvernement ouvre ce mardi 29 septembre les enchères pour l’attribution des fréquences de la 5G. La France devrait ainsi prendre le « tournant » de cette technologie qui suscite des résistances de forme et de fond. Car le déploiement de la 5G est loin de se réduire à une décision technique : véritable choix de société, enjeu sanitaire et écologique, pari stratégique, la cinquième génération des standards de téléphonie est à la confluence de tous les débats sur les technologies. 

Entretien avec Nicolas Bérard, journaliste à L’âge de faire, auteur en 2017 d’une enquête sur le compteur Linky, qui publie son nouvel ouvrage 5G mon Amour aux éditions Le Passager clandestin (2020). 

 

- La Relève et la Peste : Pour commencer, une question toute simple, mais qui n’est pas évidente : à quels usages servira la 5G ? À quels besoins répond son déploiement ?

- Nicolas Bérard : Cette technologie répond avant tout à une logique générale qui veut qu’après la 3G et la 4G, on passe forcément à la 5G. Pour vous dire, des ingénieurs planchent déjà sur la 6G ! À mon avis, la 5G n’est pas faite pour répondre à un besoin précis. On crée le réseau, on le lance et après on évalue quels usages on pourra en faire.

Il y a déjà plusieurs choses dans les cartons des industriels, c’est vrai, mais malgré tout, on est face à un fonctionnement absurde qui veut qu’on construise les tuyaux avant de trouver comment les remplir…

L’industrie des télécommunications travaille depuis longtemps sur la 5G, c’est un projet de long terme. Il y a donc de grandes tendances qu’on peut constater dans le monde entier : connecter tous les objets qui nous entourent simultanément (on parle d’une capacité d’un million d’objets connectés par kilomètre carré) ; concrétiser la smart city, multiplier les échanges, « dématérialiser »…

- C’est dans l’optique de la « smart city » qu’on a créé la 5G ?

- En fait, j’ai l’impression que les différents grands secteurs industriels avaient tous besoin de se réinventer, afin de pouvoir faire perdurer le vieux système capitaliste, dont la 5G est l’héritage direct, car elle est fondée sur un renouvellement perpétuel par l’innovation.

Que ce soit l’automobile, l’électroménager, la téléphonie, tous les secteurs avaient besoin de passer à autre chose et se sont restructurés autour de ce projet d’hyperconnexion. C’est ce qu’on appelle l’industrie 4.0, la « smart production », c’est-à-dire la production industrielle à la demande, ou encore la « smart city », l’urbanisme connecté avec ses voitures intelligentes, les équipements ménagers connectés, les millions de capteurs disséminés dans toutes les villes… Tout cela rentre dans une logique de renouvellement du capital.

 

(la suite à lire sur le site du journal, en cliquant ICI )

“Je suis électrosensible”
ça veut dire quoi ?

La médecine commence à peine à comprendre le syndrome d'Hyper-sensibilité électromagnétique, qui est pourtant reconnue par l'OMS depuis 2004.
La France reconnaît quand même 5% de la population comme électrosensible. (étude de l'ANSES de 2018)

Les bases scientifiques qui permettent d'expliquer le syndrome sont dans la physique quantique, qui étudie les effets des ondes, et les qualités vibratoires de ce qui est vivant.
(La médecine quantique n'en est qu'à ses débuts malheureusement, alors qu'on développe partout toujours plus d'ondes et de radiations.)

LES PRINCIPAUX SYMPTÔMES DE l’EHS
  • Troubles du sommeil et fatigue anormale (perte du repos réparateur).

  • Maux de tête particuliers avec brouillard mental, cervicalgies, douleurs multiples

  • Palpitations, troubles du rythme cardiaque, tension artérielle instable

  • Acouphènes ou perceptions sonores sans objet, troubles de l’équilibre

  • Pertes de tonus musculaire, mouvements involontaires, paresthésies (perceptions sensitives sans objet comme des décharges électriques, des sensations de brûlure).

" Le corps humain a une réalité électrique et magnétique et est par là même  un système ouvert à des informations vibratoires. Ainsi notre corps fonctionne comme un récepteur radio qui peut « grésiller » lorsque les ondes qu'il reçoit sont incohérentes avec son propre système oscillatoire. Ces ondes peuvent venir de notre environnement,(Wifi,téléphone portable, antenne relais, courant électrique , baby phone, compteurs Linky, etc…) .
Mais elles peuvent venir également ou sont pour le moins potentialisées par des matières que nous avons sur nous ou dans nous, qu’elles soient métalliques ou non. On parlera alors d’un effet d’antenne ou d’un écho électromagnétique. Ces informations ondulatoires, quand elles sont permanentes depuis des années, et situées à l'intérieur de notre corps, comme dans  notre bouche, peuvent avoir des conséquences insoupçonnées et  graves, voire dramatiques sur notre santé."

(site du Dr Dieuzaide, dentiste à Toulouse)

Anses - Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alim

" 6.2.5 Conclusion (p.142)

Les résultats des expertises précédentes conduites par l’Anses concernant les effets sanitaires de l’exposition aux radiofréquences sont pertinents pour la 5G dans la bande 700 - 2 500 MHz, bien qu’aucune étude ne concerne spécifiquement la fréquence de 700MHz. Par ailleurs, les niveaux d’exposition dans l’environnement seront vraisemblablement comparables entre la 5G et les précédentes technologies de téléphonie mobile pour les fréquences de 700 à 2 500 MHz.

Il est nécessaire de souligner que tous les rapports publiés par d’autres organismes à l’étranger constatent le manque de données, leur dispersion et leur faible qualité. Ces rapports mentionnent également un possible biais de publication dans la production des données, car les résultats de certaines études, en particulier de celles qui montrent une absence d’effet, sont difficiles à publier. Bien que la bande 700 MHz soit citée dans plusieurs rapports, les données scientifiques concernant spécifiquement cette bande sont pratiquement inexistantes."

" 6.3.3 Conclusion (p.155)

La littérature scientifique ne fournit pas suffisamment d'études dans des fréquences proches de 3,5 GHz (seulement 5 études et dans des domaines très disparates) pour pouvoir procéder à une évaluation du niveau de preuve d’effets sanitaires éventuels. Le groupe de travail a tenté de répondre à la question de savoir si dans la gamme des fréquences les plus étudiées, entre 840 MHz et 2,85 GHz environ (c'est-à-dire proche de 3,5 GHz, mais aussi de 700 MHz), il existait un lien entre la fréquence et l’intensité des effets biologiques étudiés. À partir d’une bibliographie regroupant des articles ayant étudié au moins 2 fréquences et montrant un effet des radiofréquences, l’analyse suggère que les études ciblant des effets cellulaires et moléculaires tendent souvent à montrer que les effets biologiques augmentent avec la fréquence. Ces résultats ne sont pas confirmés pour les effets comportementaux et neurophysiologiques chez l'animal ou chez l'Homme. Il existe donc une incertitude quant à savoir si lorsque des effets des radiofréquences sont observés, la fréquence joue un rôle sur les modifications et/ou altérations observées chez l'Homme. Ainsi, la 1re conclusion est qu’il ne paraît pas possible, à l'heure actuelle, d’extrapoler des résultats d'études scientifiques à des fréquences différentes, même proches, pour en tirer des conclusions sur les effets biologiques, physiologiques et a fortiori sanitaires éventuels dans la bande 3,5 GHz voire 700 MHz, très peu étudiée également. Au final, il n’est pas attendu d’effets biologiques, physiologiques ou sanitaire des signaux à 700 MHz ou 3,5 GHz qui différeraient grandement de ceux observés précédemment à des fréquences proches."

Contenu du dossier déposé en mairie
n° DP 069 388 24 01009

L'affichage a été réalisé le 4 novembre 2024 dans le hall d'entrée du 107 rue Laënnec, l'immeuble sur lequel ils veulent poser l'antenne.
Nous avons 2 mois pour poser un recours, soit jusqu'au 4 janvier 2025.

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